Texte : Un nouveau public.

L’audience réelle que la littérature a puis rencontrer est celle qu’elle a trouvé au public européen à une époque où l’opinion internationale cherchait à comprendre le pourquoi les combats coloniaux ou les guerres civiles.

Aujourd’hui la littérature est loin de rencontrer auprès de ce public il ya 10 ou 12 ans.

Il semble que l’opinion européenne s’apprête plus de guerre à s’entendu s’accuser par une presse qu’elle contribue après tout à diffuser et à faire vivre. Tant que les écrivains africains persistèrent à faire le procès de l’occident leur œuvre sera appeler à rencontrer peu d’audience auprès des maisons d’éditions européenne.

Pour survivre, les écrivains serons dès lors acculés à changer le thème de leur débat. En écrivant soit des romans gentils et exotiques à l’intention d’un certain public friand de sensation rare, où des œuvres qui mettent en lumière des problèmes qi préoccupent réellement l’Afrique.

S’il est possible de trouver un public en quête des émotions, les hommes primitifs, est-il facile de trouver un autre qui cherche l’Afrique pour être même se peut-il que les écrivains noirs doivent se battre dans ce cas sur les seuls lecteurs africains. Ce public en voie d’alphabétisation est-il prêt a accordé encore quelque crédit à ceux de leur congénère qui s’appliquent à exalter l’influence de la culture traditionnelle alors que celle-ci peine à s’introduire dans la vie africaine moderne ?

Les éléments cultuels africains sont encore admis de façon folklorique pour les défilés ou les divertissements des tourismes de marques.

La culture africaine ne dite pas encore le comportement de l’Africain instruit dans sa vie officielle, ni s’inspire le droit public, la vie administrative, les principes diplomatiques ou le système éducatif moderne des jeunes africains.

Le décalage entre l’affirmation littéraire de la culture africaine et l’absence de fait de cette dernière de la vie africaine moderne et un phénomène qui tend à rendre la littérature négro-africaine peu crédible exotique ou passéiste lorsqu’elle s’investie à vanter les mérites de la culture traditionnelle. Sans doute la littérature n’est qu’un facteur parmi tout d’autre de réveil de la conscience culturelle qui dépend autant de l’effort du peuple tout en tiers que de l’action des pouvoirs publics qui peuvent seule mettre la culture africaine en pouvoir de renaissance.

                                                                  Iyay Kimoni (Destin de la littérature africaine problématique d’une culture).

Situation du texte :

Ce texte est tiré de l’œuvre intitulée destin de la littérature négro-africaine ou problématique d’une culture.

L’auteur, le Zaïrois Iyay Kimoni est professeur à l’Institut Supérieur pédagogique de Kikivit, Université nationale de Zaïre.

Expression générale :

Ce texte traite de rapport nécessaires entre l’écrivain africain et son public, encore envoie de formation. Ceux qui posent de problème : langue, africaniste des œuvres, maisons d’éditions, restitution de la littérature africaine à son véritable public.

Plan du texte :

• Les écrivains africains et le public européen : une audience qui tend à se réduire à moins que les écrivains africains n’acceptent de changer le thème de leurs ouvres.
• Les écrivains africains et les lecteurs de chez eux : une audience encore très réduite.
• Tant que la culture africaine sera exclue de la vie moderne, la littérature n’aura que peu d’audience.